Les outils de planification : une nécessaire rationalisation pour renforcer l’efficience
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Alors que la loi ZAN est débattue pour la 3e fois en 3 ans (avec la loi Trace), la question n’est-elle pas : disposons-nous vraiment des outils de planification répondant aux enjeux de notre siècle (préservation de l’environnement, adaptation des territoires au dérèglement climatique, défi démographique, sobriété foncière, etc.) ?
Et pourtant, des documents de planification il y en a. Près de 25 documents coexistent. A chaque nouvelle idée ou nouveau sujet à traiter, un nouveau document de planification est institué, générant un empilement de documents sur des périmètres territoriaux et espaces
temps différents et dont les actions sont rarement financées.
Générant des coûts, et beaucoup de temps en termes de mobilisation pour les mettre en place, ces documents de planification ont une efficience relative comme le montre leurs évaluations.
Et si c’était le moment de réformer les documents de planification qui ont été pensés il y a 25 ans ?
La planification est un outil indispensable de projection, traduisant une vision et permettant de donner un cap via la définition d’un cadre commun afin de guider les politiques publiques. Réformer les documents de planification pourrait être pensé en répondant à trois mots d’ordre : Agilité, Transversalité, Opérationnalité avec pour objectif ultime de garantir des territoires vivables et vivants.
Et si nous faisions un peu d’urbanisme fiction, à quoi pourrait/devrait ressembler cette réforme ?
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